La vie se joue parfois à coups de dés…
Dostoïevski s’est lui-même vampirisé pour deux passions : l’écriture et le jeu. Il y a laissé ses amours. Est-ce là le lot de la création artistique ?
Dostoievski Quand l’acteur brûle les planches, il flambe aussi sa vie. Avant de vivre leur rôle, les partenaires sont avant tout des joueurs : ils s’observent, bluffent, esquivent, engagent ainsi leur personne, au risque de perdre gros. Recherche autour de textes tirés de la nouvelle Le Joueur, des correspondances de Dostoïevski, des mémoires d’Apollinaria Souslova et d’Anna Grigorievna. (Adaptation de J-F. Dusigne et partition musicale de Frédéric Ligier.) Cette pratique est ouverte de préférence aux acteurs ayant déjà suivi une formation avec l’école russe.
Quatre semaines sont prévues, en deux sessions :
Du lundi 12 février au vendredi 16 février, de 13h à 18h.